Le baromètre économique est une publication de l’Agence d’Urbanisme de l’Artois, qui parait chaque trimestre pour suivre au plus près les dynamiques de l’économie territoriale à l’échelle du Pôle Métropolitain de l’Artois, et des Zones d’emploi de Béthune et de Lens.
Le baromètre économique est une publication de l’Agence d’Urbanisme de l’Artois, qui parait chaque trimestre pour suivre au plus près les dynamiques de l’économie territoriale à l’échelle du Pôle Métropolitain de l’Artois, et des Zones d’emploi de Béthune et de Lens.
Le résidentiel est un des secteurs les plus consommateurs en termes d’énergie à l’échelle de notre territoire. Le gaz et l’électricité y sont les énergies les plus consommées.L’augmentation du coût de l’énergie, la loi « climat et résilience » concernant l’interdiction de louer et les engagements pris par la France pour réduire les émissions de gaz à effet de serre ont amené l’Agence à engager une réflexion sur la performance énergétique des logements. Cette publication vous permettra de découvrir les principaux résultats issus de cette analyse.
Face aux tensions actuelles autour du gaz naturel (arrêt d’approvisionnement en gaz Russe, changements climatiques, augmentation des coûts, …), l’intérêt au niveau national pour la production locale de biogaz semble connaître une accélération. Le biogaz est produit par la fermentation de biodéchets. Biodéchets qui, selon une étude de l’ADEME, constituent plus d’un tiers de nos ordures ménagères. Longtemps inexploitée, cette typologie de déchets est aujourd’hui apparentée à une ressource pouvant contribuer à accroître l’indépendance énergétique de nos territoires.
Le territoire de la CALL est caractérisé à hauteur de 41% par des terres agricoles (source : RPG, DRAAF, 2019). En plus de la production de denrées alimentaires, ces terres rendent des services écosystémiques vitaux : service de support (accueil de la biodiversité, circulation des espèces) …) et service de régulation (stockage du carbone …). La qualité de ces terres est dépendante du mode de production (conventionnelle,monospécifique, polyculture, biologique …) et de ladiversité paysagère (haie,bande enherbée …).
Depuis la seconde guerre mondiale, le développement des villes, des infrasctructures routières et l’étalement urbain ont fortement contribué à l’expansion de l’éclairage urbain. Résultat, 83% de la population mondiale n’a plus accès à la nuit noire (source : « Pollution lumineuse : suivez son évolution autour de chez vous depuis 25 ans », C.Deluzarche, 2019).
Aujourd’hui, de nombreuses politiques protègent les ilots de nature (parcs naturels, arrêtés de protection de biotope, réseau Natura 2000…) mais ne prennent pas en compte la circulation des espèces entre ces ilots, circulation indispensable au bon fonctionnement écologique des écosystèmes. La Trame Verte et Bleue (TVB) vise ainsi à compléter ces politiques et enrayer la perte de biodiversité, en préservant et en remettant en état des continuités écologiques.
Qualité et quantité de l’eau sont indissociables. Ainsi, pour faire suite à la publication sur la qualité de l’eau, la question de la disponibilité de cette ressource vitale sur le territoire du PMA se pose. Qu’en est-il ?
L’été est fini mais la question de l’eau est encore sur toutes les lèvres. Cet été, le Pas-de-Calais s’en sort sans qu’aucune mesure de restriction particulière n’ait été prise même si le niveau de vigilance indiquait que l’état de la ressource pouvait s’aggraver en l’absence de pluie. Nos acolytes nordistes, avec qui la question de l’inter solidarité
Face aux enjeux liés au changement climatique, aux débats sur l’interdiction de commercialisation des véhicules thermiques en 2035 et sur la base des pratiques actuelles, quel serait l’impact pour le territoire, en termes d’émissions de CO2 , d’un passage à une « automobilité » 100% électrique ? Découvrez dès à présent les principaux résultats des analyses en cliquant sur le lien pour accéder à la publication.
